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ARAWAK 21 Peggy Desquiens Tél 06 77 90 89 98 - contact@arawak21.fr
TOURCOING INFO NUMÉRO 217 ARTICLE PRESSE DU 11 FEVRIER 2021
ARAWAK 21 Exposition de Philip VERHOEVEN et Christian VANWAMBEKE au siège de Lexagone Tourcoing
LA VOIX DU NORD ARTICLE DE PRESSE 6 FEVRIER 2021 - Edition Tourcoing et la métropole
20 MINUTES - Faire des affaires à Lille Art Fair - Article du 12.04.2012
Miser sur des œuvres abordables et accessibles plutôt que sur les grosses cotes et l'avant-garde. Le salon d'art Lille Art Fair, qui ouvre ses portes ce jeudi pour quatre jours à Lille Grand Palais, semble avoir trouvé la formule qui marche avec 15 000 visiteurs l'an dernier.
Passage obligé
Les galeristes mettent ce succès au crédit de Didier Vesse, directeur artistique depuis trois ans. Comme Valérie Lefebvre, qui vient d'ouvrir sa galerie dans le Vieux-Lille et participe déjà pour la deuxième fois à ce salon. « Il encourage les jeunes à participer au salon à tarif préférentiel, raconte-t-elle. Je lui dois le démarrage de mon affaire ». Le salon semble, en, tout cas, devenu un passage obligé pour les galeristes lillois. La galerie virtuelle Arawak, qui fait l'essentiel de son chiffre en ligne, s'est offert 30 m2. «Le buzz est bon et les résultats sont là », assure Peggy Desquiens, la gérante d'Arawak.
« Hormis la Fiac à Paris, il y a désormais trois salons importants en France : Strasbourg, Nîmes et Lille, note Joël Aeck, patron de la galerie Naclil qui en est à sa troisième édition. On rentre juste dans nos frais avec les ventes réalisées sur place, mais l'opération est payante en termes de visibilité et de contacts. » Même son de cloche chez Véronique Dalle, de la galerie Collégiale. « Je montre tous mes artistes en comptant faire des affaires. » Pour une location de stand, compter au minimum 20 m2, à 135 € le m2.
Sudpresse Belgique – Arawak 21 du Web à la réalité - Article du 21.04.2009
Estaimbourg au domaine de Bourgogne - 12 artistes exposent ce week-end encore au Château
Arawak 21 est une galerie d’art en ligne ouverte à la création contemporaine. Peggy Desquiens et Nicolas Samarcq, ses concepteurs, ont rassemblé les œuvres de 12 de leurs protégés à l’étage du Château de Bourgogne. Une foison d’œuvres variées à découvrir les 24, 25 et 26 avril prochains.
Les Arawaks étaient des Amérindiens, dispersés en Amazonie, aux Bahamas et en Floride, réputés pour leur production de céramiques très décorées. Le choix du nom est évidemment inspiré par l’aspect artistique mais aussi les connotations de nomadisme que l’on retrouve dans les multiples provenances des artistes, reliés via la toile mais aussi parfois lors de fugaces expositions comme celle montée à Estaimbourg.
Ils sont 12 à proposer, depuis la semaine dernière et ce week-end encore, leurs diverses recherches artistiques.
Saluons d’abord la maîtrise technique du Tournaisien Jean-Claude Brichart qui présente des gravures très achevées de paysages italiens. L’animateur du groupe «Mains noires sur papier blanc» est un habitué des lieux mais trouve toujours matière à innover et surprendre.
Bernard Coulon, formé aux Beaux Arts de Lille puis de Paris, le rejoint dans la virtuosité technique mais avec un travail sur verre, matériau dont la transparence permet de faire vibrer les tons.
Adeline Flipo, formée aux Arts graphiques de Paris et en perpétuelle recherche d’harmonie de couleurs, peint sur toile ses sentiments du moment.
Corine Pagny propose un mélange de matières et supports: encre, aquarelle, craie ou acryliques se mêlent aux papiers, cartons, toiles pour former une œuvre où gestes et mouvement se servent de la couleur comme prétexte.
Gery Lamarre, grâce à une technique de superposition proche des laques japonaises, propose des œuvres très brillantes qui jouent avec la lumière en fonction du positionnement du spectateur.
Gérard Stricher expose, en toute liberté, des œuvres de grands formats.
Xavier Bourlard, vidéaste autodidacte mène une recherche artistique au départ de plans de caméras et d’effets spéciaux.
Bénédicte Logié, Lilloise fascinée par Venise, propose des panneaux thématiques créés sur base de collages à partir d’affiches vénitiennes.
Adel KSK Gouillon, formée aux Beaux Arts de Rennes, propose une série de portraits d’inspiration coréenne sur un support résineux très original.
Mathieu Brosset, sculpteur sur bois, a choisi des essences rares pour créer ses silhouettes effilées et intemporelles. Enfin, Pierre Pirson nous livre une œuvre abstraite où s’exprime la fusion entre les deux aspects de sa personnalité, secrète d’une part, dévoilée de l’autre. Quand on vous parlait d’œuvres variées… Alain Verlinden – Sudpresse –